Voici les paroles d'une chanson de Julien Baer, le grand frère d'Edouard (il a d'ailleurs composé la musique de La Bostella). J'ai acheté le CD sans vraiment savoir à quoi m'attendre, j'avais entendu seulement 2 chansons de ses chansons auparavent que je n'avais pas trouvée désagréable sans être totalement transportée. Depuis que j'ai acheté son CD...je n'écoute plus que ça ou presque...vive le julien ! Ahh...quelles mélodies enchenteresses, quelle charmante nonchalence dans la voix...pas grand chose à voir avec le petit frère, moins total eclach' (d'où le côté "Dark Side") mais ça n'empêche...que du bonheur ! Achetez le, plutôt sept fois qu'une, offrez le à votre cousin germain et même à votre père, organisez des distributions gratuites à vos frais...DIFFUSEZ JULIEN BAER !!!
Et surtout...faites comme Cécile et moi...venez l'applaudir en direct live à son concert : le 24 mars à la Boule Noire à Paris (18ème)...Je mets ça tout en étant bien consciente que pas une personne passant sur cette page n'ira mais je suis emportée par mon enthousiame !!!
Et voici les paroles d'une chanson :
Drôle de Situation >>> ça, c'est le nom de la chanson...
Je suis dans une drôle de situation. 40 de fièvre et de rage. Mais 40 degrés tu sais c'est du plomb. Dans l'air, une voie de garage. Avec mon empire, si vide qu'il se tire. Sans un sujet qui l'inspire. Avec mon nuage, ma bulle, mon visage, tu m'as rayé du passage.
C'est pas une drôle de situation. 40 degré c'est pas bon. C'est presque final comme solution Presque pas normal au fond. Avec mes médailles. En toc, ma ferraille. Tu m'as laissé sur la paille. Et puis cette rancoeur, si dure, elle fait peur. Tu m'as laissé sans une fleur.
Moi je t'ai suivi, petite horloge. A ton profil j'accrochais. Voilà soudain, qu'on me déloge. De ton cou où je dormais.
C'est pas une drôle de situation. A l'endroit même où se trame. Cette menace sur ma nation. Et mon armée derrière qui rame. Avec ta machine. De guerre qui décime. Le prétendant qui s'affirme. Avec ta faucille, ton marteau en vrille. Tu m'as repris ce qui brille.
Je suis dans une drôle de situation. C'est pas une drôle de situation...
Bien sûr vous n'avez pas tout compris...mais laissez parler le Julien :
"Je n’écris jamais en fonction d’un thème, j’agis plutôt par association d’idées, par association de mots. Il me semble que les thèmes que j’aborde sont similaires d’album en album, sans en être vraiment certain moi-même… Je ne veux pas embêter l’auditeur avec mes propres idées, je pense qu’il faut lui laisser une «fenêtre ouverte», où il a toute latitude d’imaginer ce qu’il veut."

ça...c'est la classe moi j'dis :